JJ Friends : Maryam ALAPINI from Bénin

Salut tout le monde Moi je m'appelle Maryam ALAPINI j'ai 18 ans. Je suis étudiante en licence 1 Psychologie à l'université d'Abomey-Calavi. De nationalité béninoise je viens de Ouidah l'une des plus grandes villes historiques du Bénin.

Mon pays le Bénin est situé en Afrique de l'Ouest dans la zone tropicale entre l'équateur et le tropique du Cancer (entre les parallèles je 6°30' et 12°30' de latitude nord et les méridiens 1° et 30°40' de longitude est).Le Bénin couvre une superficie de 114 760 kilomètres carrés et compte 11,18 millions d'habitants. Il est limité au nord par la République du Niger sur 277 km avec 120 km délimités par le fleuve Niger ; au nord-ouest par le Burkina Faso (sur 386 km) ; à l'ouest par le Togo (sur 651 km), à l'est par le Nigeria (sur 809 km) ; et au sud par l'océan Atlantique (sur 121 km).

Le Bénin, compte 5292 villages et quartiers de ville, 546 arrondissements, 77 communes et 12 départements. Il y a trois communes à statut particulier au Bénin que sont: Cotonou , Porto-Novo et Parakou Le relief Le pays peut être divisé en quatre zones principales du sud vers le nord. La plaine côtière sablonneuse de faible altitude, qui culmine à 10 m (33 pi) d'altitude, tout au plus, ne dépasse pas 10 km (6 milles) de large. Elle est marécageuse et parsemée de lacs et lagunes reliés à l'océan comme le lac Nohoué ou la lagune de Porto-Novo dans laquelle se jette l'Ouémé, fleuve principal du pays (après le Niger). Les plateaux du sud du Bénin, avec une altitude comprise entre 20 et 200 m (66 et 656 pi), sont divisés par les vallées allant du nord au sud le long des rivières Couffo, Zou et Ouémé, une zone qui a été classée par le World Wildlife Fund dans le cadre de l'écorégion mosaïque de forêt-savane guinéenne. Puis une zone de terres plates parsemées de collines rocheuses dont l'altitude atteint rarement 400 m (1312 pi) s'étend autour de Nikki et Savè. Enfin, la chaîne de l'Atacora s'étend le long de la frontière nord-ouest et vers le Togo avec comme point culminant, le mont Sokbaro, à 658 m (2159 pi). Cette zone est principalement constituée de savane et de montagnes semi-arides. La majeure partie de la population vit dans les plaines côtières méridionales, où les plus grandes villes du Bénin sont concentrées, notamment Porto-Novo et Cotonou.

La chaîne de l'atacora

Les mamelles de Savê L'hydrographie du Bénin Le Bénin possède plusieurs cours d'eau, dont les principaux sont le fleuve Niger et le fleuve Mono. Le fleuve Niger traverse le nord du pays, tandis que le fleuve Mono se trouve dans le sud. Il y a aussi des rivières plus petites et des lacs disséminés à travers le pays. Les différents cours d'eau du Bénin Parmi les principaux cours d'eau du Bénin, on trouve : Le fleuve Niger : Il traverse le nord du pays, formant une partie de la frontière avec le Niger. Il est crucial pour l'approvisionnement en eau, l'agriculture et le transport. Le fleuve Mono : Il coule dans le sud du Bénin et se jette dans le golfe de Guinée. Il est important pour l'irrigation, la pêche et le transport fluvial. La rivière Ouémé : Elle prend sa source au Togo et traverse le Bénin avant de se jeter dans le golfe de Guinée. Elle est utilisée pour l'irrigation et le transport. La rivière Sota : Elle est située dans le nord du Bénin et constitue un affluent du fleuve Niger. La rivière Alibori : Elle traverse le nord-est du Bénin et est un affluent du fleuve Niger. Ces cours d'eau jouent un rôle crucial dans la vie économique et sociale du Bénin, en fournissant de l'eau pour l'agriculture, la pêche, le transport et d'autres activités.

Les mangroves du Mono Le Bénin compte plusieurs lacs et lagunes, notamment : Lac Nokoué : Situé près de la ville de Cotonou, c'est le plus grand lac côtier du Bénin. Il est célèbre pour ses villages lacustres et sa pêche. Lac Ahémé : Situé dans le sud-ouest du Bénin, près de la frontière avec le Togo, il est également important pour la pêche et l'agriculture. Lagune de Porto-Novo : Elle borde la capitale du Bénin, Porto-Novo, et est utilisée pour la pêche et le transport. Lagune de Grand-Popo : Située près de la ville de Grand-Popo, cette lagune est connue pour ses paysages pittoresques et ses activités touristiques. Lagune de Ganvié : Surnommée "la Venise de l'Afrique", cette lagune abrite un village lacustre sur pilotis et est une attraction touristique majeure. Ces lacs et lagunes sont essentiels pour l'économie locale, fournissant des ressources naturelles telles que le poisson et offrant des opportunités touristiques.

C'est comme ça que les habitations se présente à Ganvié Le Climat Le Bénin possède deux (02) types de climat : Au sud, un climat équatorial avec une forte humidité. Alternance de saisons sèches (de novembre à mars et de mi-juillet à mi-septembre) et de saisons des pluies (d’avril à mi-juillet et de mi-septembre à octobre). Au centre et au nord, un climat tropical. Une saison sèche de novembre à avril et une saison des pluies de juin à septembre. L’harmattan, vent chaud et sec en provenance du Sahara, souffle sur toute l’étendue du territoire pendant la saison sèche. À Cotonou, les températures ont une faible amplitude : les maximales varient de 28 à 32°C et les minimales de 23 à 26°C. La pluviométrie annuelle dans cette ville est de 1245 mm. La flore au Bénin est incroyablement diversifiée, avec une grande variété d'écosystèmes allant des forêts tropicales humides du sud aux savanes arborées du nord. On y trouve une multitude d'espèces végétales, et une variété de plantes médicinales utilisées par les communautés locales depuis des générations. Trois (03) types de végétation caractérisent le Bénin: la savane arborée dans les régions soudanaises du Nord ; la savane au Centre avec des essences comme l’Acajou, l’Iroko, la Samba ; et la forêt au Sud et au Moyen Bénin.

En effet, grâce à ses acides gras essentiels, le beurre de karité est idéal pour hydrater, assouplir, réparer et même redonner de la brillance à des cheveux un peu ternes et abîmés. Il est aussi excellent pour lutter contre la sécheresse du cuir chevelu et les petites pellicules qui en résultent !

L'iroko un arbre sacré au Bénin L'arbre fétiche est également utilisé en médecine traditionnelle dans son aire de culture : le guérisseur traditionnel se confie toujours à un iroko avant de pouvoir soigner certaines maladies liées à la sorcellerie et à l'envoutement.

Le baobabier

La vitamine C contenue dans les feuilles de baobab joue le rôle d'antifatigue, selon lui. Elle procure de l'énergie pour le cerveau, le foie, les reins, bref tout l'organisme. Les utilisateurs de ces feuilles peuvent être immunisés contre le scorbut qui est une maladie qui attaque les dents.

Le Jus de baobab est un nectar produit à partir de poudre du fruit du baobab (Adansonia digitata) séchée naturellement sur l'arbre, récoltée manuellement et réduite en poudre. La poudre ainsi obtenue est ensuite tamisée. La poudre de baobab a une saveur agréablement acidulée et légèrement sucrée. Elle est l'une des boissons traditionnelle les plus consommée au Bénin

Le bissap est le nom donné en wolof sénégalais à une infusion de fleurs d’hibiscus sabdariffa, mais on retrouve cette boisson dans de nombreux pays du monde

Le jus d'hibiscus communément appelé bissape Attention, il existe plus de 200 espèces d’hibiscus dans le monde, elles sont loin d’être toutes consommables, et seule l’infu­sion d’hibiscus sab­da­rif­fa donne le bissap. On en fait aussi des confiseries comme l’hibiscus confit à manger comme un bonbon.

L'acajou

Les fruits se forment à la fin de la saison sèche. Ils sont formés d'une coque en forme de rein qui abrite la graine comestible appelée noix de cajou. Le fruit est accroché à la pomme cajou qui, contrairement à ce qu'on pourrait penser, n'est pas un fruit : c'est un pédoncule gonflé, charnu et juteux.

La noix de cajou

La noix de cajou comestible

Certaines études ont montré que les principes actifs de la plante possèdent des effets antioxydants, anticancéreux, anticonvulsivants, anti-arthritiques, antiparasitaires, antipaludéens, protecteurs du foie et antidiabétiques

Les récits d 'anciens nous apprennent aussi que le noni a longtemps été utilisé comme un remède traditionnel pour soulager, entre autres les divers symptômes des deus types de diabète, la dépression, les troubles du système immunitaire, la fatigue et les problèmes de vision. BIODIVERSITÉ FAUNIQUE Imprimer cette rubrique Agrandir la taille du texte Réduire la taille du texte La faune du Bénin est riche et diversifiée, mais il est difficile de chiffrer précisément le nombre d’espèces animales dans la mesure où il existe encore des groupes entiers d’invertébrés pour lesquels les connaissances sont fragmentaires. Les statistiques sur le nombre d’espèces dans les différents groupes taxonomiques présentées dans le quatrième rapport du Bénin sur la biodiversité du Bénin restent les mêmes. Sauf pour le cas des mammifères où une nouvelle espèce d’antilope sauvage est découverte et nouvellement décrite pour la science . Il s’agit du Philantomba walteri. Les investigations sur la faune font état de plusieurs espèces menacées dont certaines sont signalées éteintes au Bénin. Ainsi, selon la nouvelle liste rouge du Bénin établie , on dénombre 2 espèces d’Amphibiens menacées de disparition, 15 espèces de reptiles, 45 espèces d’oiseaux et 49 espèces de mammifère Le Bénin dispose de deux grands parcs nationaux que sont Le parc national de la penjari et le Parc national W qui regorge d'une diversité d'animaux La république actuelle du Bénin, ancienne colonie française du Dahomey de 1894 à 1960, possède trois villes pré-coloniales : Abomey, Porto-Novo et Ouidah où la concentration de bâtiments anciens est particulièrement importante. Le Bénin, compte 5292 villages et quartiers de ville, 546 arrondissements, 77 communes et 12 départements. Il y a trois communes à statut particulier au Bénin que sont: Cotonou , Porto-Novo et Parakou

Moi je suis originaire de Ouidah. Une commune qui a marqué son existence dans l'histoire du Bénin. A l'origine les Fon d' Abomey pour désigner les premiers habitants de ce territoire disais les Xwéda ; vocable perçu et transcrit différemment par les Européens : Juda, Ajuda par les Portugais ; Fida par les Hollandais ; Whydah par les Anglais, et Ouidah par les Français. Ouidah Ouidah est reconnue comme un ancien centre de vente et d'embarquement d'esclaves. Cet endroit est maintenant devenu la ville historique préférée des visiteurs. La cité a formellement su garder des vestiges inoubliables du commerce négrier tout en gardant sa tradition de culte vaudou. Sur ce, Ouidah demeure un lieu attractif suggérant une multitude de sites et d'activités aux amoureux de la culture noire africaine. Histoire Dans le passé, la ville de Ouidah connue sous le nom de « Fort portugais », a subi une histoire avérée très douloureuse. En effet, la cité a été fondée en 1721 en tant que fort. Elle était dirigée par un dignitaire portugais, le yavoghan (chef blanc) João Baptista de Ajudá. Difficile d'y croire qu'à cette époque lointaine, la commune de Ouidah servait comme l'un des fournisseurs d'esclaves vers les pays occidentaux du monde entier. Toutefois, le devoir d'accomplir et de garantir le marché d'esclaves dans ce lieu était confié à João Baptista par ordre du roi du Portugal. Par conséquent, le chef blanc géra toutes les relations commerciales entre le royaume d'Abomey et les marchands d'esclaves européens. Après des années de trafic d'esclaves, plusieurs millions d'Africains noirs furent exilés lebiais de la traite négrière. Un acte accompli entre les rois d'Abomey et les organismes occidentaux : les Amériques, le Portugal, le Danemark, la France, etc. Tactiquement, le fort était fortement isolé du royaume d'Abomey (L'actuel Bénin) dans le seul but de garantir le monopole du roi du Portugal. Quelques années plus tard, sous l'autorité du roi Agadja (5e roi d'Abomey), la traite négrière fut devenue un devoir imposé du roi du Portugal. La ville de Ouidah fut donc créée dans une agonie qui dura pendant au moins un siècle. Certaines populations sont encore en discorde avec d'autres ethnies du pays, seulement à cause de la conspiration organisée par les rois d'Abomey. Ouidah Aujourd'hui Connue comme l'ancien fort portugais, la ville de Ouidah gagne aujourd'hui en popularité grâce aux vestiges laissés par les négriers. Tous les forts occidentaux (danois, français, portugais) et l'enclos d'esclaves du comptoir anglais y sont encore actuellement. Même si Ouidah est victime d'un passé atroce cette histoire la qualifie parmi les villes béninoises les plus riches en matière de récits historiques. Ces malheureuses anecdotes ont beaucoup éveillé la curiosité des touristes du monde entier. De ce fait, de nombreux touristes y viennent chaque année pour découvrir les traces laissées par les marchands d'esclaves. Outre l'histoire mélancolique de la ville, Ouidah est aussi reconnue pour ses magnifiques monuments historiques tels que : le temple des pythons, le musée d'art contemporain Fondation Zinsou, la forêt sacrée de Kpassè et la route de l'esclave. Pour les passionnés de la culture noire africaine, Ouidah est un choix idéal comme destination. Plongez-vous au cœur de la religion vaudou en faisant une petite escapade dans le temple des pythons. En effet, c'est un lieu sacré pour les adeptes de vaudou, et qui est considéré comme le monument phare de la cité. D'après la légende, il y avait un roi qui préférait de vivre au Glexué (maison des champs). Celui-ci bénéficiait de la présence d'un python, qui par conséquent, préservait sa plantation en mangeant les rongeurs se trouvant aux alentours. Depuis lors, le python devient le symbole et à la fois l'animal protecteur de la cité. C'est pourquoi les habitants y consacrent un culte tous les cinq jours en faisant appel à sa divinité. Après le passage dans le temple des pythons, tout droit au musée d'art contemporain Fondation Zinsou. Le site pour découvrir les ouvrages socioculturels de la ville. En effet, cette galerie d'art contemporain est particulièrement dédiée à la culture noire africaine. Ses actions se concentrent éventuellement sur les œuvres artistiques, culturelles et sociales de la race noire. Sur le lieu, vous découvrez une concentration d'œuvres d'artistes africains comme : Cyprien Tokoudagba, George Lilanga, Frédéric Bruly-Bouabré, Samuel Fosso, etc. Outre ce musée d'art contemporain, il y a également la forêt sacrée de Kpassè, l'un des patrimoines les mieux conservés du Bénin. Selon les pratiquants du vaudou, ce lieu renferme beaucoup de mystère et de légende sur le roi Kpassè. L'histoire raconte qu'il s'est réincarné en arbre enchanté juste après sa mort. Depuis, le paysage attire d'innombrables visiteurs les plus curieux. Si vous êtes un passionné d'architecture et de la religion apostolique romaine, autant allé visiter La Basilique de l'Immaculée-Conception. Certainement, c'est le premier sanctuaire catholique de Ouidah. Il a été construit en 1903 à l'initiative du Monseigneur français Louis Dartois. Terminer votre périple en passant la route des esclaves qui retrace le parcours des esclaves avant l'embarque jusqu'à la porte du non retour.

Les python de plus de 150 ans

Moi au temple des pythons La forêt sacrée de Kpassè est un ilôt forestier situé à Ouidah – haut lieu du vaudou –, au sud du Bénin. Elle abrite plusieurs divinités autour desquelles s'organisent périodiquement de grandes cérémonies rituelles. C'est aussi un musée à ciel ouvert qui accueille de nombreux visiteurs

Une camarade et moi à la forêt sacré de kpassè

Le bòkɔno En français féticheur

Sakpatási Le Dieu de la foudre

Le Dieux de la fertilité

La légende raconte que le roi Kpassè s'est métamorphosé un beau en iroko. C'est alors cet arbre qui incarne l'esprit du roi Kpassè

Ce tigre est est à gauche et à droite à l'entrée de la forêt Kpassè

Ouidah en 1745 avec les usines européenne à gauche et au centre, le palais royal à droite et la ville en haut

Place chacha

Porte du non retour Voici une brève description de mon beau pays le Bénin et de mon village natal Ouidah A la suite je vous ferai part de mon séjour en Corée du Sud lors du 25e Jamboree Scout mondial

Nous avions quitter le Bénin le samedi 29 juillet 2023 et sommes arrivés en Corée le 31 juillet . A notre arrivée nous avons été accueillis par des scouts coréen du village de jeonbuk

Quand nous avions quitter l'aéroport de Séoul nous sommes allés au centre culturel de Jeonbuk où nous avons pris des glaces et avions essayé tenues traditionnelles coréennes Et pris des photos

Ensuite nous sommes allés dans un centre d'art où nous avions fait des miroirs

Nous sommes allés dans un hôtel de joeonbuk ou nous avions dîné passé la nuit.

Le lendemain nous avions pris le petit déjeuner et pris des photos

Ensuite nous sommes allés à Sae Man Geum le lieu du campement. Nous sommes allés dans notre sous Camp

Nous avions placé nos tentes

Le lendemain mercredi 2 Août nous sommes allés au parc national. Nous avons fait plusieurs activités parmi lesquels figurent l'escalade que j'ai faite. La journée était belle longue, et amusant, d'autres ont fait du canoë et plein d'autres activités

Ensuite nous sommes rentrés sur le lieu du Camp et nous nous sommes apprêté pour la cérémonie d'ouverture une splendide soirée

Les jours qui ont suivi nous avons fait plusieurs jeux , le toboggan aquatique, la formation du pont de Vinci, les activités pour avoir le foulard SDGs et bien d'autres activités Par la suite nous sommes allés à Gochan . Là bas nous avons suivie des spectacle, ensuite fait des activités, visité les lieux, porté les tenues traditionnelles,ect

Par la suite un typhon s'est annoncé et nous avions quitté Sae Man Geum et nous sommes allés à l'université de YONSEI à Séoul nous sommes restés. Nous avons visité le centre commercial souterrain de Séoul. A la fin du Camp nous sommes allés à la cérémonie de Clôture. Le jour où notre séjour à YONSEI à pris fin des scouts du village de Muju sont venus à notre rencontre. Et nous sommes allés à Muju. Nous y avons passé la nuit. En cours de route nous avions pris par un restaurant pour le déjeuner. Ensuite nous sommes allés dans une école traditionnelle où les mariages traditionnelle coréennes étaient célébré . Après nous sommes allés à la résidence et nous avions fait une visite du village, et nous sommes allés dans un restaurant 5 étoiles. Et nous avions fait des pizzas au pommes fruits, En conclusion mon Séjour en Corée était une très belle expérience. Tout était beau j'ai beaucoup apprécié, L'atmosphère, le climat, l'espace vert naturel était éblouissant C'est un beau pays avec de très bons mets Bien que le soleil était ardent cela ne m'affectais guère puisque je suis africaine. Merci beaucoup à la Corée pour le séjour et l'accueil. Me voici à la fin de mon histoire.  Merci à tous